0 NOTRE UNIVERSITÉ EST CONFRONTÉE AUJOURD’HUI À UN CONTEXTE

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CE QUE SOULIGNE NOTRE ENQUÊTE C’EST QUE L’AGREAL UN
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Secrétariat de direction

0 NOTRE UNIVERSITÉ EST CONFRONTÉE AUJOURD’HUI À UN CONTEXTE

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Notre université est confrontée aujourd’hui à un contexte de transformations qui contraint notre action mais qui offre aussi des opportunités à cette action. Ces transformations se situent à deux niveaux :

Sur le plan national, la loi de 2007 qui a donné l’autonomie et la responsabilité aux universités, prolonge les mutations entreprises depuis 1969 (Loi Edgar Faure) en faveur du renforcement de la logique de l’établissement, en lieu et place du régime facultaire qui structurait auparavant l’université française.

Sur le plan international, nous avons vu se déployer des logiques de mise en concurrence des nations et des universités, à travers notamment le poids croissant des classements, mais aussi des logiques de coopérations et d’alliances rendues nécessaires par la recherche de la taille critique pour mener des projets de plus en plus ambitieux.


Ces deux grand types de transformations sont inscrits dans des temporalités historiques de la longue durée et rendent indispensable la mise en projet de notre établissement dans une recherche du développement qui devient une condition de sa survie. En d’autres termes, la question n’est pas aujourd’hui de chercher à remédier à des problèmes ponctuels ou des questions conjoncturelles (déménager un campus, de fédérer des équipes de recherche…) mais bien de faire de notre université un établissement apte à se projeter dans l’avenir, à regarder l’horizon 2020 ou 2030, apte à s’adapter constamment à un changement qui devient permanent.



Qu’est-ce qui caractérise aujourd’hui l’URCA ?


Notre établissement appartient à la minorité des universités pluridisciplinaires avec secteur santé. A une époque où il est souvent demandé aux universités d’afficher leur projet d’excellence, parfois assimilé à une logique de la spécialisation, nous devons affirmer clairement notre ambition : l’URCA vise effectivement l’excellence de ses formations et de sa recherche et n’hésitera pas à se donner des priorités de développement ; mais elle le fera en se refusant catégoriquement à sacrifier l’un des 5 domaines de formation, ou l’un des 5 pôles de recherche.

Etablissement de service public, l’URCA s’appuie d’abord sur les financements publics qui peuvent provenir de l’Etat, mais aussi des collectivités locales et territoriales. Mais l’appui des entreprises et des milieux professionnels devient aujourd’hui une nécessité vitale, tant pour la formation que pour la recherche. Nous ne demandons cependant pas un « soutien », mais nous proposons un véritable partenariat avec les collectivités, un new deal aux entreprises : nous avons besoin de vous, pour nos stages, pour nos formations, pour nos labos, mais vous avez aussi besoin de nous pour assurer une formation de qualité, pour appuyer l’innovation, pour répondre aux besoins de Formation Continue.

Etablissement en charge de 3 missions essentielles: recherche, formation, insertion professionnelle (depuis la loi de 2007), notre université les assume sans état d’âme et plutôt avec fierté. La mission d’insertion professionnelle semble plus récente mais n’oublions pas que notre université a derrière elle une longue tradition de formation professionnelle, accueille aujourd’hui plus de la moitié de ses étudiants dans des facultés ou composantes à vocation professionnalisante. La question est bien aujourd’hui celle de l’appropriation par toutes les composantes de l’université de ces 3 enjeux, et nous constatons aujourd’hui des progrès considérables dans les composantes les plus « académiques », à l’adhésion aux enjeux de la professionnalisation. Ces progrès seront encouragés et rendus plus visibles dans notre offre de formation

Etablissement adossé à un territoire régional (ce qui est loin d’être le cas pour toutes les universités de notre pays), l’URCA assume pleinement sa double référence géographique (comme le signale son sigle) : sise dans une métropole (Reims), elle irrigue le territoire régional qui fournit une grande partie de son vivier d’étudiants, mais aussi des partenariats de recherche et de formation. Pour notre université, ses implantations ardennaise, auboise ou haut marnaise ne sont donc pas un fardeau mais bien un facteur de développement que nous devons renforcer, dans l’intérêt de l’établissement mais aussi dans celui de nos partenaires locaux. Contrairement à certaines idées reçues, cette perspective ne sera pas source d’affaiblissement pour le campus rémois mais bien une condition nécessaire pour le renforcement de l’université, en particulier pour les formations masters et doctorales.

Notre établissement appartient au premier quart des universités françaises par sa taille, ses effectifs étudiants ou ses effectifs en personnels. Sa dimension nationale doit être complétement assumée en interne et reconnue en externe, en particulier sur le plan de l’appui aux grands projets structurants. Notre établissement n’a ainsi pas pu ou n’a pas su prendre la part qui lui revient dans les opérations du Grand Emprunt, et cette carence devra être réparée.



Les Objectifs stratégiques : renforcer l’attractivité, structurer l’offre


Le renforcement de l’attractivité de l’URCA vise tout à la fois la formation et la recherche, aux 3 niveaux régional, national, international.

L’enjeu régional est double :

Dans un contexte champardennais caractérisé par un tropisme fort des formations supérieures courtes pour les populations, il s’agit pour l’URCA, d’accueillir une plus grande part des neobacheliers de l’académie. Cette évolution est une nécessité non seulement pour notre université, mais aussi pour notre région qui a besoin, non seulement d’une population mieux formée mais aussi d’une jeunesse n’hésitant pas à regarder vers le haut.

L’URCA est aujourd’hui très peu attractive en ce qui concerne certaines parties du territoire, en particulier vers le sud (la Haute Marne) et le nord. Héritage de l’histoire cette situation favorise la fuite d’une partie de notre jeunesse hors du territoire champardennais et impacte l’économie comme la démographie régionale. Le renforcement des liens entre l’URCA et l’ensemble du territoire est donc un objectif vertueux, tant pour notre université que pour tous nos partenaires.

Le renforcement de notre attractivité au niveau national concerne tout autant la recherche que les formations. Sur le premier point il est aujourd’hui vital pour notre établissement mais aussi pour l’ensemble des acteurs locaux de renforcer les liens avec les grands organismes nationaux de recherche (CNRS, INSERM, INRA…). Ce renforcement est non seulement un gage de l’excellence mais il constitue aussi une condition importante de l’ouverture sur les grands réseaux de recherche nationaux et internationaux. Sur le plan des formations, l’URCA doit viser l’augmentation du recrutement national des étudiants en particulier aux niveaux master et doctorat, les deux niveaux de formation pour lesquels nous devons accomplir des progrès significatifs.

L’attractivité Internationale de l’URCA est aujourd’hui une réalité dont témoignent les nombreux accords existants avec des dizaines de pays, réalité sur laquelle nous devons nous appuyer pour aller plus loin dans les coopérations: il faut pour cela continuer à diversifier les zones géographiques de collaborations, en visant notamment le renforcement des liens avec les Etats Unis, l’Amérique latine et l’Asie, mais aussi faire évoluer nos coopérations privilégiées vers une collaboration multi dimensionnelle avec des établissements, collaborations associant mobilité étudiante, mobilité enseignante , formations conjointes, diplômes internationaux, expertises, recherche… L’amélioration des conditions d'accueil des étudiants et des chercheurs internationaux se traduira par le développement de l'offre de cours de Français Langue Étrangère (FLE), mais aussi par l’encouragement à dispenser des cours en langue étrangère, par une formation linguistique aux personnels en interface avec le public international.



Renforcer l’attractivité de l’URCA aux niveaux régional, national et international, sur le plan des formations comme sur celui de la recherche


Sur le plan des formations, deux grands enjeux se présentent :

Il nous faut en premier lieu renforcer le niveau master des formations en retenant nos étudiants du cycle licence et en attirant les meilleurs étudiants dans nos formations d’excellence que la dernière évaluation de l’AERES met en évidence

Le développement de nouvelles filières d’ingénieurs est inscrit aujourd’hui non seulement dans la perspective d’évolution de notre école d’ingénieurs (ESIReims) qui a récemment ouvert une seconde filière de formation d’ingénieurs et qui projette d’en ouvrir d’autres, mais aussi dans la perspective de collaborations accrues avec l’UTT sur le pôle de l’ingénierie.

Le renforcement de l’attractivité dans le champ de la recherche passe par une vision dynamique et positive du champ de la recherche et de ses acteurs.

Nous devons en premier lieu augmenter la part des équipes et chercheurs classés A et A+ ; il ne s’agit pas ici de céder à la sacralisation du classement, mais bien de prendre au sérieux la nécessité de tirer vers le haut le plus grand nombre des 810 chercheurs de notre établissement. Ce mouvement vers le haut doit être soutenu, et non guidé par la menace ou la punition des chercheurs qui ne sont pas actuellement au niveau souhaité. L’URCA mettra en place les moyens de soutien aux chercheurs et aux équipes de telle sorte que l’excellence devienne l’ambition de chacun.

Nous devons renforcer l’implication des grands organismes de recherche en champagne Ardenne et en particulier avec nos laboratoires. Ce renforcement relève bien entendu d’une tache de longue haleine mais devra faire l’objet pour notre établissement d’un engagement traduit au niveau des moyens alloués aux équipes concernées par les associations présentes et futures.

Seuls, nous pouvons peu ; avec d’autres établissements voisins (UTT, RMS, ENSAM, ESC Troyes…) et avec l’UPJV, la recherche de synergies et de coopérations inter établissements doit constituer une constante dans les situations de mise en projet que requière aujourd’hui l’activité de recherche.

Notre établissement compte aujourd’hui 30 équipes de recherches labellisées, certaines ayant le statut d’UMR, certaines (parfois les mêmes) étant engagées dans des collaborations stratégiques avec les équipés de l’UPJV. Ces 30 équipes récemment labellisées et reconnues comme bonnes ou très bonnes dans leur immense majorité, souffrent aujourd’hui d’une visibilité insuffisante et d’une taille critique parfois trop faible pour figurer dans le paysage actuel de la recherche. Il nous faut avancer dans la structuration de la recherche par le biais des structures fédératives qui existent déjà avec l’UPJV mais qui ne sont pas réservées à certaines équipes de l’URCA. Y compris pour les SHS, la perspective de la fédération (MSH), à la fois respectueuse du dynamisme des équipes actuelles, mais aussi porteuse de nouveaux leviers de développement doit être inscrite dans le projet stratégique de l’établissement.

De manière générale il s’agir donc bien d’identifier clairement les organisateurs de l’excellence, dans le champ de la recherche (autour des 5 pôles actuellement identifiés) comme dans celui des domaines de formation, en valorisant tout particulièrement les mentions de nos masters habilités.



Quels moyens ?


Nous adoptons comme postulat que l’URCA possède en elle-même les ressources qui lui permettent d’affronter ce programme, mais qu’elle ne peut tout, toute seule. C’est sur ce postulat que s’appuie notre conviction que les alliances permettent d’atteindre des objectifs plus variés et plus ambitieux.

Notre université possède en interne des forces considérables et reconnues, notamment au travers des évaluations récentes. Ces forces sont celles des Enseignants Chercheurs mais aussi de l’ensemble des personnels administratifs et techniques, ainsi que les étudiants dont le dynamisme a été maintes fois souligné. La question est donc bien aujourd’hui de réunir les conditions permettant de mobiliser les efforts de tous vers des buts partagés. Pour cela il est clair que nous devons rétablir et renforcer le dialogue, la concertation avec tous les personnels et développer les outils les favorisant : c’est le sens de l’institution d’une Assemblée des Directeurs d’Unités de Recherche, ou bien la mise en place d’un Congrès réunissant périodiquement l’ensemble des élus et responsables de l’établissement. Mais il est aussi nécessaire de changer l’état d’esprit qui préside au fonctionnement de l’URCA, par l’institution des groupes de travail préparatoires à la prise de décision. La co construction entre les personnels, les élus et les responsables de l’établissement des décisions préparant notre avenir, sera la règle. Enfin, il est nécessaire, à l’issue d’une période de forte instabilité, de laisser l’ensemble de la communauté universitaire « respirer » et retrouver une sérénité nécessaire à notre mise en projet.

En dehors de ses forces internes, l’URCA dispose de deux leviers essentiels :



Quel espace universitaire ? D’une logique de la polarisation à une logique de réseau.


Le projet de construction d’un « Grand Campus » à Reims, est un aspect essentiel de notre projet stratégique. L’implantation sur le Campus Croix-Rouge de la plupart des composantes de l’URCA (le pôle santé restant à proximité immédiate du CHU) ne peut cependant se réduire à un simple déménagement des UFR sciences et Staps, de l’ESI Reims, de l’IUT ou de l’IUFM. Le Grand Campus constitue en effet une véritable opportunité de refonder l’université en créant notamment, non seulement un établissement restructuré mais aussi un campus modèle sur les plans environnemental, énergétique, numérique…, sur le plan de la vie étudiante comme sur celui de la vie en général sur le campus ; intégré au pôle Urbain de l’Innovation, le Grand Campus sera une ville dans la ville

Les « campus associés » à Troyes en premier lieu, mais aussi à Charleville-Mézières, Chalons en Champagne, Chaumont complèteront le réseau de l’URCA sur le territoire. Ces campus sont appelés à se substituer aux actuels déconcentrations de composantes (IUT, IUFM, UFR lettres droit …) en développant les mutualisations, la vie étudiante, les formations communes…le développement de ces campus passe bien entendu par une collaboration stratégique avec les collectivités locales et territoriales, avec les milieux économiques locaux concernés, que ce soit dans le cadre du CPER ou dans celui de contractualisations plus spécifiques.



Des partenariats stratégiques dans 3 directions


L’URCA ne peut avancer seule et propose aujourd’hui 3 grands types de partenariat

Avec les établissements d’enseignement supérieur en premier lieu, avec lesquels nous pouvons produire de la « valeur ajoutée », dans une stratégie du « gagnant-gagnant ». Cette collaboration au niveau « local », à Reims concerne d’abord les établissements rémois ou implantés à Reims (RMS, les écoles parisiennes implantées à Reims ou Pomacle) que notre université considère comme des partenaires potentiels ou actuels et non comme des rivaux.

Au niveau régional, l’UTT, université avec laquelle existent déjà de nombreux partenariats, notamment sur le plan de la recherche, doit devenir un partenaire stratégique, en particulier dans le champ technologique et ingénierique. Les discussions récemment ouvertes entre nos deux établissements laissent augurer la construction d’un axe universitaire champardennais que l’URCA soutiendra

Au niveau interrégional, nos partenariats stratégiques privilégieront bien entendu l’UPJV avec laquelle nous construisons le PRES UFECAP récemment créé. La mise en place effective des institutions du PRES doit commencer dès ce mois de juin et doit se poursuivre très vite par l’établissement des collaborations concrètes dans tous les champs concernés par le PRES. L’extension de cette collaboration au-delà de nos frontières avec les établissements wallons contribuera à valoriser la position géographique de l’URCA dans un espace qui, de périphérique dans l’espace français devient central dans l’espace européen.

L’implication de l’URCA dans les pôles de compétitivité IAR et Materalia, exprime tout à la fois la volonté de l’établissement de développer les liens avec les milieux économiques et de n’exclure aucune direction (en l’occurrence la Lorraine) de collaboration. La Société d’Accélération de Transfert de Technologie construite avec l’UPJV et le PRES Nord de France s’inscrit dans la même perspective.


Le partenariat avec les collectivités locales et territoriales est déjà ancré dans une tradition de soutien aux formations, à la recherche, aux relations internationales…il est aussi déjà engagé pour le développement des campus mais c’est sans doute à ce niveau que nous devons faire des progrès. L’Université, sur ses différents sites, constitue un facteur essentiel d’aménagement du territoire urbain, départemental, régional, et l’URCA assume ce rôle, sous réserve d’une nouvelle « contractualisation » avec les villes et les départements. Les missions de l’Université doivent en effet viser avant tout la formation, la recherche et l’insertion professionnelle et les financements qui lui sont alloués le sont à ce niveau. Conscient cependant de l’enjeu que nous représentons sur les territoires, je proposerai à l’automne 2012, dans le cadre de conférences locales dans les villes de la région, un contrat d’objectifs partagés, permettant d’assurer une visibilité du long terme à nos différentes implantations.

Ces partenariats ne doivent cependant pas être interprétés comme une volonté de l’établissement de se replier sur son territoire mais bien de s’adosser à celui-ci pour regarder au-delà, de considérer notre implantation régionale comme une condition pour se projeter au dehors aux niveaux national et international.


Nos partenariats stratégiques doivent enfin impliquer davantage les milieux économiques et professionnels. Les collaborations sont aujourd’hui déjà nombreuses et multiformes : de nombreuses formations sont soutenues de manières diverses, les partenariats de recherche se sont développés et se renforcent considérablement à la faveur notamment des collaborations inscrites dans les pôles de compétitivité. Il faut aujourd’hui aller plus loin et envisager aujourd’hui un outil de dialogue permanent entre l’univers académique et l’univers économique. Un conseil d’orientation stratégique sur le modèle des « conseils de perfectionnement » qui doivent être généralisés au niveau Master , pourrait constituer cet outil.

Enfin, notre région, mondialement connue par un produit qui symbolise l’idée même de marque, ne dispose pas aujourd’hui d’un outil dont ont su se doter d’autres régions viticoles (Bourgogne, Bordelais) : la création de l’Institut de la Vigne et du Vin doit être l’occasion pour l’URCA de construire des liens étroits avec les milieux du Champagne. Cet IVV devra réunir tous ceux qui avec l’URCA, peuvent y contribuer, qu’il s’agisse des établissements d’enseignement supérieur déjà impliqués dans la filière vigne et vin, des organismes professionnels et interprofessionnels…forte de l’implication de plusieurs de ses laboratoires, de plusieurs formations de haut niveau dans le champ, l’URCA prendra toutes ses responsabilités dans la création et le développement de cet Institut.


Je voudrais conclure en adressant un double message : à l’ensemble des personnels de l’Université, ainsi qu’à tous nos étudiants, je le dis avec force : nous avons un avenir et cet avenir n’est pas celui de la marginalisation et du déclin mais bien celui d’un renouveau de notre université dans un paysage universitaire qui devrait encore vivre prochainement des évolutions législatives prévues en janvier 2013, mais qui appelle avant tout, la prise de conscience de nos atouts, la restauration de la confiance en nous, la mobilisation au service d’une vision partagée. Le temps nécessaire pour construire cet horizon partagé nous a amené à distinguer deux moments : celui de la déclaration générale, celui de la présentation du projet stratégique qui sera faite à la fin de l’année 2012, projet qui détaillera en particulier les conditions matérielles de réalisation de nos grands chantiers ainsi que l’échéancier.

A nos amis et partenaires de l’URCA, à la fois extérieurs et souvent si proches de notre établissement, je réaffirme ce que j’ai voulu exprimer tout au long de cette déclaration : notre université a défini son cap et s’y tiendra.






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